Jéhovah ne méprise pas un cœur brisé
Psaumes 51 :17
Ô ! Combien il est difficile de nos jours
De vivre dans ce monde dominé par Satan,
Un monde égoïste, un monde sans amour
Et qui vous opprime à chaque instant.
Alors, je crie, je pleure et je supplie
Que tout ceci s’arrête pour de bon !
De vivre, il me manque l’envie,
La détresse a voilé mon horizon.
Mes yeux ne voient plus le bleu du ciel,
Mon regard fuyant est rempli d’eau ;
Et mon ouïe bien qu’en partie infidèle
N’entends de mon cœur que le chant du ruisseau.
Ô je sais ! Jéhovah ne méprise pas
Un cœur brisé, un cœur qui souffre,
Ô oui je sais ! Qu’en son amour Jéhovah
En mon cœur m’inspire un nouveau souffle.
Et pourtant, je ressens comme une solitude
Loin de mes frères et de mes sœurs bien-aimées !
De les côtoyer, j’en avais une douce habitude,
Mais la pandémie de moi les a éloignés.
O oui ! Je sais bien que Jéhovah
Ne me méprise pas, bien au contraire,
En mon cœur, il reste près de moi
Et de sa parole bienveillante il m’éclaire.
Je vois toujours sa lumière merveilleuse
Mais parfois, elle semble s’éloigner de moi ;
Alors je voudrais qu’elle redevienne radieuse
Et qu’elle éclaire à nouveau ma foi.
Jéhovah ne méprise pas mon cœur brisé,
Car il lit la souffrance au fond de mon cœur ;
Jéhovah ne m’oublie pas, je le sais,
Car de sa main, il essuie chaque jours mes pleurs.