Tu te montres bienveillant envers moi
Psaumes 142 :7
Quand les ténèbres du monde m’entourent,
Tu te montres bienveillant envers moi ;
Tu viens sans cesse à mon secours
Pour que mon pied ne trébuche pas.
Tu me consoles, tu me parles doucement
Comme un père aimant pour son fils.
Près de toi, je me sens comme un enfant
Car tu m’as sorti un jour de l’infâme abysse.
J’étais perdu, alors tu m’as recueilli,
Tu m’as porté dans tes bras puissants,
En sécurité alors, je me suis senti,
J’ai ressenti combien ton amour était grand !
Tu as soigné les plaies de mon cœur,
Tu as séché les larmes de mes yeux,
Avec toi, je ne connais plus la peur
Être un de tes enfants me rends si heureux.
Tu te montres bienveillant envers moi,
Moi qui ne suis qu’un grain de poussière
Mais je suis fier de pouvoir suivre ta voie
Guider par ta douce et si belle lumière.
Tu appartiens à qui ?
Romains 14 :8
Ô Homme ! Es-tu un homme libre ?
Qu’est-ce que pour toi la liberté !
D’un air pur et sain, es-tu ivre,
Ou d’un air pollué vas-tu respirer !
Quelle est ta ligne de conduite ?
Suis-tu les pas de ceux qui rejettent Dieu ?
Devant la vérité, prends-tu la fuite ?
Es-tu un homme sage et pieu ?
Tu appartiens à qui ?
Est-ce le monde qui te dirige,
Un monde sans foi, sans avenir ?
Devant leur idole est-ce que tu te figes
Vers leurs faux dieux tu te diriges ?
Sais-tu qui dirige ce monde corrompu ?
Sais-tu que le chef du monde c’est Satan ?
Ô Homme ! Cesse d’errer dans les rues
De ce monde infâme, pars ! Va-t’en !
Tu appartiens à qui ?
Vois la détresse des humains sur leur visage,
Ils craignent l’avenir, ils crient sans cesse
Car ils ne savent pas où se finit leur voyage,
Ils sont dans l’angoisse, dans la détresse.
Alors ils boivent pour essayer d’oublier,
Mais au réveil pour eux rien n’a changé ;
Ils se droguent pour ne plus penser
Mais leur détresse ne fait que s’aggraver.
Tu appartiens à qui ?
La liberté ne s’acquière qu’auprès de Dieu
Pour ne plus être esclave du monde
Et si tu veux un jour être heureux
Laisse le monde s’enliser dans sa tombe.
Ouvre les yeux et regarde le ciel !
Recherche la lumière de la vérité
Elle aura pour toi le goût du miel
Et la saveur d’un vent de liberté.
Tu appartiens à qui ?
A Dieu ! Heureux es-tu ô Homme !
Car auprès de lui est la source de la vérité
De tes péchés, il n’en calcule pas la somme,
Dans le sang du Christ, il les a oubliés.
Ô Homme ! Es-tu un homme libre ?
Alors bienvenue dans le peuple de Jéhovah
De bonheur et de liberté tu seras ivre
Et d’un beau paradis, un jour tu recevras.
Tu appartiens à qui ?
A Jéhovah !
Heureux es-tu ô Homme !
Tout est vanité
Le monde recherche la richesse,
Les moments de plaisirs,
Oubliant les âmes en détresses
Dans la sépulture de leurs souvenirs.
Ici-bas, sur notre terre,
Tout est vanité,
Tout est austère,
Un monde dépravé.
Que trouve-t-on de bon !
Que des hommes impies
Régnant sur leur donjon
De perversité et de folie.
Mensonges, corruptions,
Guerres et famines,
Tout est désillusions,
Et la terre qu’on assassine.
Tout est vanité,
L’argent et le vice ;
Tout est perversité
Sans aucun délice.
Alors, je me tourne
Vers une autre vie
Car celle-ci, je m’en détourne
Comme d’un mal impie.
L’argent domine le monde,
Mais pas l’amour ;
Comme la mort sur la tombe
Emporte les hommes tour à tour.
Tout est vanité,
Force est de constater
Que le bon est périmé
Et la fin bien arrivée.
Sourd comme une idole
Jérémie 10 :5
J’ai ramassé un caillou sur la route ;
Il était rond, brillant et bien lisse.
Était-ce un dieu ? Dans le doute
Des mots à l’oreille je lui glisse.
Le caillou ne m’a pas répondu…
Peut-être était-il mal entendant !
Cette situation ne m’a pas plu
Alors je l’ai jeté dans un étang.
J’ai ramassé un morceau de bois
Sur le bord d’un chemin forestier ;
Je voulais entendre sa voix
Mais il ne m’a pas parlé.
Peut-être était-il muet de naissance
Ou a perdu sa langue sur le chemin ;
Alors devant son lourd silence
J’en ai fait des parchemins.
J’ai trouvé un morceau de fer rouillé
Que j’ai ramené à la maison ;
J’ai enlevé la rouille, l’ai nettoyé
Avec amour, avec passion.
Je pouvais voir en lui mon image
Mais lui, il ne me voyait pas.
J’avais cru en lui, c’était un mirage
En la matière, j’avais perdu la foi.
Toutes les idoles que nous créons
Faites de pierre, de bois ou de fer,
Elles ne sont que des illusions
Qui ne répondent à nos prières.
Elles n’entendent pas nos souffrances
Elles ne répondent pas à nos questions
Elles nous laissent dans l’indifférence
Et notre cœur est dans la désillusion.
Seul le vrai Dieu Jéhovah qui est au ciel
Entend écoute et répond à nos prières
A lui, restons pour toujours fidèles
Et servons-le d’un cœur sincère.
Signes des derniers jours
Matthieu 24 / 2 Timothé 3
Quand ces choses auront-elles lieu ?
Quels seront les signes à venir ?
Quand se lèvera la main de Dieu ?
Que nous réserve alors l’avenir ?
Dans les derniers jours de ce monde impie
Les nations se dresseront l’une contre l’autre
Faisant tomber les larmes comme la pluie ;
Et se lèveront partout des faux apôtres.
Des famines et des tremblements de terre
Auront lieu dans un endroit après l’autre ;
Les hommes sèmeront partout la misère
Rejetant sur Dieu toutes leurs fautes.
L’amour d’un grand nombre se refroidira ;
Les hommes se haïront et s’entretueront,
Ils sèmeront sur toute la terre la peur et l’effroi
La cruauté et la méchanceté en leur cœur germeront.
Dans les derniers jours les temps seront difficiles
Car les gens seront égoïstes, hautains, orgueilleux,
Infidèles, sans affection pour leur famille,
Rejetant l’amour et la paix qui vient de Dieu.
Amis des plaisirs, entêtés, gonflés d’orgueil,
A Dieu, il en oublie leur attachement ;
De sa parole ils en feront leur deuil
Et leur dieu, ne sera que plaisir et argent.
De ces gens-là ! Fuis-les ! Détourne-toi !
Car ils sont chargés de tant péchés ;
Ce sont des hommes sans loi, sans foi
Qui rejette la parole de vérité.
Mais cette bonne nouvelle du royaume
Sera annoncée sur toute la terre habitée
Et viendra la fin de tous ces royaumes
Et de ces peuples rempli d’impiété.
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