Paradis
Aux sombres chemins de l’humanité
Quand la pénombre envahi le cœur
Nourrissant la haine et la rancœur
J’aspire à un parfum de liberté.
Je veux crier : Paradis ! Paradis !
Laissez-moi rêver d’un monde nouveau !
D’un monde sans guerre, d’un monde plus beau !
Ne plus voir de mes yeux tomber la pluie.
Laissez mon cœur se repaitre de paix,
Afin que mon avenir soit parfait,
Et que mon âme s’abreuve de bonheur !
Je veux crier : Paradis ! Paradis !
Enlever de devant mes yeux la nuit,
Pour le repos éternel de mon cœur.
On se reverra bientôt
Isaïe 26 :19
Quand le deuil s’initie dans votre existence
Par la perte d’un être cher, d’un être aimé,
Dans votre cœur git une telle souffrance
Que vous avez envie de crier, d’hurler.
Une mère qui s’endort dans un dernier repos
Puis un père qui la suit sur le même chemin
On se demande pourquoi ? Et parfois c’est trop
Pour nous qui ne sommes que des humains.
On se pose des questions, parfois l’on doute
Pourquoi ? Oui pourquoi ça m’arrive à moi !
On cherche alors une réponse coûte que coûte
Puis on la trouve. On y croit ou on n’y croit pas.
Ne pas y croire c’est laisser les blessures du cœur
Ouvertes à tout jamais, sans espoir, sans avenir
Laissant s’épanouir sur notre bonheur
Un épais brouillard qui vous fera gémir.
Y croire ! C’est un apaisement pour notre cœur
Une source de réjouissance pour l’avenir
Une bonne nouvelle qui sèche vos pleurs
Et qui atténue doucement vos soupirs.
Croire en la résurrection est un baume
En ces instants où l’on perd un être aimé ;
Tel un livre fini, on commence un nouveau tome
Une nouvelle histoire qui va bien se terminer.
Quand la grande tribulation sera passée,
Viendra le moment où l’on retrouvera
Toutes les personnes que nous avions aimées
Et dans lesquelles on se jettera dans leurs bras.
Alors, oui les larmes à nouveaux couleront
Mais ce seront des larmes de bonheur et de joie
Les pleurs, les souffrances nous les oublierons
Car Grâce à Jéhovah, Papa, Maman, l’on se retrouvera.
On ne vieillira plus
Isaïe 35 : 5,6
Quand je regarde cette photo de moi
Où je n’étais qu’un jeune garçon insouciant
Et que je me vois aujourd’hui dans ce miroir froid
Je me dis : ‘Comme il a passé le temps !’
Ma peau rosée et fraîche d’enfant s’est flétri,
Les rides disgracieuses alourdissent mon visage,
Et mes cheveux châtains sont devenus gris,
Vraiment ma jeunesse a plié ses bagages.
Quand je courrais, j’allais plus vite que le vent,
Quand je travaillais j’étais bien moins fatigué ;
Mais voilà, il ne s’est pas arrêté ce fichu temps
Et la vieillesse en moi s’est installée.
Je ne cours plus, je marche très lentement
Pour ne pas trop me fatiguer et m’épuiser ;
Puis soudain, mes cheveux deviennent blancs
Et les douleurs en moi se sont imposées.
Eh oui ! Ce n’est pas bon de vieillir mes amis
Cela nous rapproche un peu plus du trépas,
Mais ne désespéré pas, car je vous le dis
Qu’un jour très proche, tout cela changera.
Non seulement l’on ne vieillira plus jamais
Mais les vieillards retrouveront leur jeunesse ;
Notre corps et notre esprit seront en paix
Plus jamais de miroir qui nous blesse.
Grâce au sacrifice de notre Seigneur Jésus,
Nous retrouverons un corps parfait
Mort, maladie vieillesse ne seront plus,
Profitant d’une bonne santé à tout jamais.
Nos cinq sens, un don de Dieu
Psaumes 139 :14
Quand j’ai vu au premier jour la lumière,
Mes yeux furent émerveillés de tant de beauté !
Un magnifique jardin près d’une rivière
Dont l’onde pure était d’une si belle clarté !
Des champs de fleurs couvrant le sol,
Des arbres majestueux au feuillage abondant
Donnant de l’ombre comme un parasol,
Portant des fruits bien appétissants.
Je sentais les parfums si agréables des fleurs
Que le vent, d’un souffle léger et aérien
Faisait monter jusqu’aux portes de mon cœur,
J’étais bien, je me sentais si bien.
Les fruits que portaient les arbres du jardin
Me paraissaient bien attirants, appétissants ;
Alors j’en cueillit de mes mains quelques-uns
Et me mis à les mordre à pleines dents.
Ils étaient juteux et savoureux au palais,
Rafraichissants comme la rosée du matin ;
Et d’un plaisir immense, je me régalais
Faisant de ces fruits un véritable festin.
Puis, soudain, j’entendis des chants d’oiseaux ;
Alors, j’ai levé les yeux vers le ciel
Et vit un immense nuage d’étourneaux
Rendant hommage au Père Eternel.
Leurs chants étaient comme un cantique
A la gloire de Jéhovah le créateur
Et cette vision était vraiment magique
Pour mon regard et pour mon cœur.
Oui ! La création rend gloire à Jéhovah !
Il nous a créé avec cinq sens pour apprécier
Chaque chose qu’il a faite et que l’on voit
Dans son bel Amour désintéressé.
Oui ! Remercions Jéhovah notre Père !
Car lui seul mérite et la gloire et l’honneur ;
Il est le créateur de toutes choses dans l’univers !
Adorons-le de tout notre âme, de tout notre cœur.
Ne t’inquiète pas, je suis ton Dieu
Esaïe 41 :10, 13
Quand je suis loin de la bergerie,
J’ai peur, car je me sens perdu ;
Le monde hurle, le monde cri,
Je me sens si seul dans cette rue.
La foule s’agite violemment et vocifère
A cause de ton nom, à cause de toi ;
Elle préfère honorer leur dieu Lucifer
Car en ton nom, elle n’a pas foi.
Les chefs religieux incitent à la haine
Pousser par Satan et ses anges méchants,
Alors devant les tribunaux on nous traine
Nous jetant dans des geôles comme des mécréants.
Alors, en mon cœur tu me réconfortes,
Tu me dis : ‘N’ai pas peur, je suis avec toi !
De ma force et de mon esprit je te porte
Pour que ton pied ne trébuche pas.
Je te rendrai fort ! Oui je t’aiderai
Dans les épreuves que tu endureras !
Oui vraiment, avec force je te soutiendrai
Car je suis le Dieu Tout Puissant Jéhovah.’
Alors, comme une brebis qui était égarée
Et que son berger est venu réconforter
Je me sens soulagé, le cœur apaisé
Car avec Jéhovah, rien ne peut m’arriver.
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