Faites toutes choses avec amour
1 Corinthiens 16 :14
Accomplir une œuvre sans amour
Aboutira à coup sûr à l’insuccès
Car s’il n’y a pas d’amour
Nos projets ne peuvent voir le jour.
Dans toutes nos actions faites
Seul l’amour peut nous les faire réaliser
Car l’amour vois-tu, c’est un fait,
Elle la plus belle des qualités.
Dieu est Amour, il nous l’a démontré
Depuis la création de l’univers
Jusqu’à l’offrande de son fils agréé
Pour sauver les hommes de la terre.
Par ce sacrifice, il nous a démontré
Combien il nous aime vraiment,
En nous permettant d’espérer
De vivre un jour éternellement.
L’amour ! Le manifestons-nous
A chaque instant de notre vie ?
L’amour est bon et n’est pas jaloux
Jamais il ne critique ou n’envie.
L’amour englobe toutes les qualités
Qui font d’une personne qu’elle soit belle
Et ces qualités, nous devons les partager
A tous comme un message, une bonne nouvelle.
L’amour ne regarde pas les défauts d’autrui
Ne regarde pas les différences des autres
L’amour n’est pas partial, l’amour réunit
Comme Jésus et chacun de ses apôtres.
Mettre en pratique chaque jour cette qualité
Vous rapproche à chaque instant de Jéhovah,
Et dans son amour il ne pourra vous oublier
Quand la vie éternelle il vous offrira.
Empêche ta voix de pleurer
Jérémie 31 :16
Les mots ne sortent plus de ma bouche,
Il n’y sort que des sons inaudibles
Et des larmes répandues sur ma couche ;
Et le monde lui, il reste impassible.
J’ai beau prier, j’ai beau crier,
Il n’entend pas, il ne voit pas
Que leur vie est en danger ;
Il ne croit plus, n’a plus la foi.
Alors les larmes coulent en ruisseau,
Et se répandent dans mon cœur ;
J’attends de ce monde un sursaut
Qu’il fuit pour toujours leur vie de malheur…
Mais rien, aucune réaction de sa part,
Il n’a aucun regret, aucun remords,
Le visage fermé, les yeux hagards
Comme attendant que vienne la mort.
Alors, je repense à ces paroles de vérité
Pleines de sagesse pour mon âme :
‘Empêche ta voix de pleurer
Et tes yeux de verser des larmes’.
Oui ! Pourquoi verser des larmes
Pour ceux qui n’ont pas de cœur !
Pourquoi vouloir briser son âme
Pour ceux qui rient de voir vos pleurs !
Si l’homme refuse d’être sauvé
En n’écoutant pas la parole de Jéhovah,
Alors pourquoi verser des larmes et pleurer
S’il ne veut pas suivre le chemin étroit !
Garder mes forces pour servir Dieu
D’un cœur complet, d’un cœur fidèle
Pour que ma joie résonne sous les cieux
En attendant un avenir radieux et éternel.
Ecoute le vent
Combien de temps
encore avant que la terre
Ne déverse sur nous sa terrible colère ?
Combien de temps encore avant que le soleil
Disparaisse sous des nuages de poussières ?
Ecoute le vent….
Combien de temps encore avant que la rivière
Cache à tout jamais ses reflets d’or et d’argent ?
Combien de temps encore avant que la lumière
Ne devienne qu’une ombre parmi le néant ?
Ecoute le vent…
Combien de temps encore l’homme égoïste
Epuisera de la terre toutes ses ressources ?
Doit-on rester neutre face à ce qui nous attriste ?
Ou doit-on croire que vienne une nouvelle source !
Ecoute le vent….
Il t’apportera avec ferveur à ton oreille
Un message d’amour, un message d’espérance
Qu’un monde nouveau de bonheur éternel
Remplacera à tout jamais ce monde de souffrances.
Mon Fils, écoute le vent !
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Devant les cheveux gris, tu te lèveras.
Lévitique19 :32
Voilà déjà quinze minutes que j’attends
Devant l’arrêt desservi par l’autocar ;
J’ai l’impression que ne passe le temps,
Il fait si froid avec cet épais brouillard.
Pas de banc en attendant pour se reposer,
J’ai mal dans les jambes et mon dos me tire ;
Des jeunes à mes côtés ne font que crier,
Et moi, je suis là avec ma souffrance et mes soupirs.
L’autocar arrive enfin, il s’arrête un peu plus loin,
Ouvre ses portes, alors c’est la ruée pour monter.
Le chauffeur me dit : ‘C’est pour aujourd’hui ou demain ?
C’est dur, j’arrive avec difficulté à peine à marcher.
Enfin, je suis à l’intérieur et je cherche,
Je cherche une place assise, mais en vain.
Quelqu’un va-t-il me tendre la perche ?
Y-a-t-il dans ce bus un bon samaritain ?
Ça rigole… On me regarde de travers…
Eh papy ! Tu nous cache le soleil ! Dégage !
Dans ma gorge, les mots restent en travers ;
Quel manque de respect pour mon âge !
Alors, je me replonge dans mes pensées
Me souvenant d’avoir lu un jour
Des paroles dans la bible, ce livre sacré
Des paroles pleines de sens et pleines d’amour :
‘Devant les cheveux gris, tu te lèveras !’
Est-ce ceci que l’on apprend à nos enfants ?
Quand on voit cette jeunesse, je ne crois pas
Et pas qu’eux ! Même les plus grands !
Je suis triste de voir ce monde ainsi
Il n’a plus de respect pour les gens âgés…
Mais tout au fond de moi, je me dis
Qu’un jour eux aussi vont y passer.
Alors jeunes et moins jeunes, apprenez !
Apprenez dès maintenant à vous comporter
Comme des gens bien civilisés, bien élevés
Pour montrer l’exemple à votre postérité.
Un jour, quand vous aurez mon âge,
Que vous chercherez dans le bus une place
Vous aimeriez vraiment qu’une personne sage
Avec compassion vous offre poliment sa place.
Devant les cheveux gris, tu te lèveras !
C’est un signe profond de respect et d’amour
Mais c’est aussi un commandement de Jéhovah
Que tu mettras en application nuit et jour.
Destination Paradis
Voilà des années que je me prépare
Pour un merveilleux voyage.
J’attends impatiemment à l’aérogare…
Tout cela me semble un mirage !
Mes valises sont prêtes depuis longtemps ;
Je regarde encore si je n’ai rien oublié…
Non, j’ai ma bible, un peu usé avec le temps,
Mes publications, ma sacoche pour prêcher…
Il me tarde enfin que vienne cet instant
Où le vol pour le paradis décolle enfin !
C’est vrai que ça fait déjà un bout de temps
Qu’à l’aérogare je ronge mon frein…
L’impatience ! L’impatience de quitter
Ce monde sans amour, égoïste et cruel,
Mais surtout de voir notre pauvre terre
Redevenir un havre de paix éternel.
J’entends enfin résonner dans l’aérogare
L’appel aux passagers pour le paradis…
Attention, attention ! Prêt pour le départ
A destination de votre nouvelle vie !
Vous allez enfin quitter ce monde corrompu
Pour une nouvelle terre paradisiaque !
L’avion décolle, je n’en pouvais plus
Je sens que s’accélère mon rythme cardiaque.
Je regarde par le hublot, et je vois
Ce monde ancien disparaitre sous mes pieds
Et déjà, au loin, à l’horizon j’aperçois
La terre promise que j’ai tant rêvée.
Enfin, l’avion arrive à destination.
La porte s’ouvre et j’en descends.
J’ai l’impression que tout n’est qu’illusion,
Et pourtant, ce parfum de paradis, je le sens.
Pas un bruit de guerre ou de violence,
Pas de cris ou de pleurs dans ce jardin,
Il n’y a plus de larmes de souffrances
La mort n’est plus elle a fait son chemin.
L’air est pur, l’eau fraîche est cristalline,
Il y a de la nourriture en abondance…
Merci Ô Jéhovah pour ta bonté divine
De nous avoir donné cette belle espérance.
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