Ceux qui saccagent la terre
Révélation 11 :18
Voici bien des années qu’un homme a dit
En regardant notre terre depuis l’espace :
‘Nous avons une planète merveilleuse ô oui !’
On peut voir ses forêts, ses océans, ses glaces…
Cela fait maintenant cinquante ans de cela,
Notre terre a bien changé, mais en mal.
L’homme cupide a fait tellement de dégâts !
Mais le pire, c’est qu’il trouve cela normal.
On a détruit la forêt amazonienne, notre poumon,
Et l’homme n’arrive plus à respirer correctement.
Il a fait fondre les icebergs en aval et en amont
Et aujourd’hui, s’acharne sur nous pluie et vent.
Pour d’autres, les chaleurs deviennent insupportables
Provoquant des incendies un peu partout sur terre,
Et ce qui est dans tout cela le plus regrettable,
C’est la disparition des animaux jusque dans la mer.
Que laisserons-nous à nos enfants comme héritage
Si rien n’est fait pour arrêter cette destruction ?
Se peut-il qu’un jour enfin l’homme devient sage
Et qu’il arrête de se bercer de douces illusions ?
Il est trop tard ! L’homme ne peut plus rien changer,
Mais nous, nous avons cette espérance merveilleuse
Qu’un espoir, seul Dieu peut nous l’apporter,
Et que notre terre redeviendra belle et radieuse.
Il nous a promis dans le livre de la révélation
Qu’il saccagera ceux qui saccagent la terre
Et qu’il les emmènera à la destruction
Car Jéhovah est dans une grande colère.
Il créera ainsi pour notre bien une nouvelle terre
Dans laquelle la justice habitera pour toujours
Et notre planète redeviendra le joyau de l’univers
Que Jéhovah dirigera avec son Fils Jésus avec amour.
Babylone la grande
Révélation 17, 18
Elle est là, assise sur une bête sauvage
Dominante sur les rois de la terre
D’où son seul désir, son seul adage
C’est le pouvoir et la richesse éphémère.
Elle se prostitue avec les nations
Commettant des actes immoraux
Blasphémant d’un bout à l’autre de l’horizon,
A la vérité divine, détournant le dos.
Elle se pare de pourpre, d’écarlate et d’or,
De perles et de pierres précieuses,
Offrant aux nations impies son corps
En les séduisant de paroles trompeuses.
Alors, les rois de la terre, enivrés
Par les propos de la grande prostituée
Se retournent contre les élus, les appelés,
Et contre l’agneau, notre seigneur bien-aimé.
Mais, bientôt, Babylone la grande va tomber,
Ses amants se retourneront contre elle,
Elle va tomber et sera à coup sûr piétinée,
Et sur terre, il ne restera plus rien d’elle.
Et j’ai entendu alors une voix venant du ciel
Criez : ‘Sortez d’elle mon peuple bien-aimé !
Ses péchés se sont amoncelés jusqu’au ciel !
Sortez ! Pour que le fléau ne vienne vous frapper.
Babylone, la grande prostituée est tombée !
Les marchands de la terre pleureront à son sujet,
Car leurs produits, plus personne pour les acheter,
Bois, or, pierres précieuses seront comme l’ivraie.
Et les rois de la terre se frapperont la poitrine,
Ils pleureront devant ses murs enfumés
Ils diront : Qu’elle dommage ! Devant ses ruines,
Il ne restera plus rien de la grande prostituée.
Comme une meule que l’on jette à la mer,
Ainsi sera Babylone, la grande prostituée,
Elle disparaitra à tout jamais de la terre
Et à tout jamais son nom sera oublié.
Aux jours de ma jeunesse
Aux jours de ma jeunesse
Je courrais comme un cerf
En moi, il n’y avait pas de faiblesse
Seulement Jéhovah que je sers.
Aux jours de mon adolescence
J’exultais de façon merveilleuse
Car je n’avais point de souffrance
Seulement une vie belle et radieuse.
J’allais de ville en ville prêcher
La bonne nouvelle du royaume
J’allais de village en village enseigner
Sans bagage, sans diplôme.
Je ne comptais pas mon temps,
Pour servir Jéhovah avec amour,
J’aurais aimé que ces instants
Dure longtemps, pour toujours.
Trop vite, les années sont passées,
Ma jeunesse s’en est allée,
Les rides se sont imposées
Et ma force doucement m’a quittée.
Je n’ai plus l’énergie de mes vingt ans,
Je ne cours plus comme un jeune cerf
Mon corps et mon âme sont déficients
Retrouver enfin ma jeunesse, j’espère.
Dans sa parole, Jéhovah nous l’a promis
Que le vieillard bientôt rajeunira
Que nous aurons une nouvelle vie
Que la mort à tout jamais disparaîtra.
Alors que les années passent sans cesse
Malgré la fatigue et les aléas de la vie
Je continuerai à espérer sans cesse
A cet avenir que Jéhovah nous a promis.
Aucun habitant ne dira je suis malade
Isaïe 33 :24
Atchoum ! Nez qui coule, et toussotement
Voilà notre quotidien en ces jours d’hiver !
Sans compter fièvre de cheval ou de jument…
La grippe est vraiment un fait divers.
S’il n’y avait que cela pour gâcher notre vie !
Cancer, pandémie virale, Alzheimer
Une longue liste de toutes ces maladies
Qui nous rendent maussade et bien amer.
Quels sont les remèdes contre cela ?
Quelques médicaments pas toujours efficaces
Vous rendant plus malades quelques fois
Et qui sur votre organisme laissent des traces.
Alors, quel est le bon remède à prendre
Pour soigner tous les maux de la terre ?
C’est un sujet sur lequel on peut s’étendre
Mais seule la bible nous en fera la lumière.
Aucun habitant ne dira je suis malade
C’est une prophétie du livre d’Esaïe ;
Certains dirons que ce sont des salades
Que la bible n’a plus cours aujourd’hui.
Pourtant de nombreuses prophéties
Annoncées se réalisent tour à tour
Telles les guerres, la peste, les famines aussi
Signes imminents des derniers jours.
C’est une certitude absolue que prochainement
La maladie, la mort, la souffrance, le désespoir
Ces fléaux que nous subissons en ce moment
Disparaitront à tout jamais… Quel espoir !
Oui, la maladie n’existera plus sur la terre !
Les humains vivront en excellente santé
Car ce Royaume tant désiré dans nos prières
Va instaurer un monde parfait pour l’éternité.
Aime Jéhovah de tout ton cœur
Matthieu 22 :37
Quand je marche sur les sentiers
De la forêt, perdu en son cœur,
Que le silence est tout entier,
Père ! Je n’ai point peur !
Leurs branches s’agrippent à moi
Elles essayent de me retenir…
De me causer beaucoup d’effroi,
Vais-je pousser des soupirs ?
Je sais que tu es à mes côtés
Car comme un père pour son enfant
Tu es là pour me protéger
En tout lieu, en tout temps.
C’est pour cela que je t’aime
Car tu prends soin de moi,
Tu es toujours resté le même,
Seigneur des seigneurs et Roi des rois.
Ton amour, je le ressens à chaque instant
Quand je ris ou quand je pleure,
Dans les bons ou mauvais moments
Surtout quand j’ai de la peine au cœur.
Je suis triste de voir ce monde sans amour
Qui refuse de t’aimer et de t’écouter
Et à tes appels, ils restent sourds ;
J’ai le cœur lourd, le cœur déchiré.
Mais moi, je veux continuer à t’aimer
Jour après jour, nuit après nuit,
Car ton amour, tu me l’as démontré
En m’accompagnant dans ma vie.
Père, je ne suis qu’un grain de poussière,
Mais de moi, tu as toujours pris soin,
Me réchauffant de ta glorieuse lumière
Et me tenant à chaque instant par la main.
Jéhovah ! Je t’aime de tout mon cœur,
De toute ma force et de toute mon âme
Car tu es la source de mon bonheur
Le consolateur de toutes les larmes.
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